(/!\ Hentai) Tak' is back. [PV Ko']

Takumi observa les petits ronds que dessiné sa sœur sur le carrelage rose clair. Elle glissait toujours un peu plus dans l'eau, mais le brun ne releva pas. Ni quand elle fut très brève sur son nouveau job. Il ne se doutait guère, et à vrai dire, il ne mettait pas en cause la parole de sa très chère demi-sœur. De toute façon, elle devait être consciente qu'il apprendrait la vérité tôt ou tard. Mais valait mieux pour elle que se soit tard... A cet instant, il était heureux. Ne pouvant espérer mieux. Quand elle évoqua le nom de Chiyoko, il eut une petite grimace. La culpabilité. Il avait sans cesse cherché à évité le plus possible de ne pas pensé à sa petite amie... Goujat. Tout ce que mentionné Kozue était vrai. Chiyoko était plutôt de la vieille école, sensible, et elle l'aimait. Il essayait de ne pas en profiter de cet amour. D'un sens, il était réciproque, car mis à part sa sœur, Takumi voulait la préservé, ne pas la blesser. Ce secret allait certainement l'anéantir, la traumatisé. C'est pourquoi, il se jura de toujours nié, de la chouchouté pour qu'elle ne se méfie de rien. Etre exemplaire à son égard entre autre.

Takumi se laissa laver les cheveux par la jeune femme. Il ferma les yeux un instant, pour mieux sentir l'odeur du shampooing. Puis, toujours les paupières closent, il éleva sa voix:

- Oui. C'est pour ca qu'elle doit être la dernière personne de ce monde à savoir. Elle n'apprendra jamais cette vérité ! Je sais que tu es amie avec elle... Raison de plus pour se taire. Et à vrai dire... il souri, je ne m'en fait pas trop.

Une fois que Kozue eu finit, il attrapa le gel douche. Ainsi, ils se lavèrent mutuellement, et Takumi en profita pour titiller des zones sensibles du corps de sa vis à vis; ça l'amusait. Son sourire était en permanence affiché sur son visage. Il ne voulait pas pensé à quelque chose de fâcheux. Ils se rincèrent rapidement, avec des rires de jeunes enfants de cinq ans. Oui, il en mettait partout. Puis, le brun vint les enveloppé dans une même serviette.

Lorsqu'ils eurent regagné la chambre, Kozue enfila des sous vêtements propres. Il avait un petit sourire coquin sur le visage, et vint la serrait dans ses bras par derrière. Lui, attendait que son caleçon sèche. En effet, il avait fait une courte lessive pendant qu'ils batifolaient dans la baignoire. D'une voix légère et suave, il lui murmura à l'oreille:

- On recommence ?

Son rire résonna dans la pièce; une blague ? Cependant, il commençait à ressentir la température très basse de la pièce. Pour se réchauffer, il se colla au corps de Kozue, et l'embrassa tendrement. Ses lèvres appelaient les siennes...

Takumi avait beau gardé son calme, son cœur battait tout de même la chamade. Il s’emballait, car une peur le prit soudainement. La peur qu’un jour, Kozue n’aurait d’yeux que pour Ren, personne qu’il n’apprécie pas, c’est certain. Sentiment le plus égoïste qu’il soit, le brun en avait conscience, mais il ne culpabilisait en rien. La raison devait être absente dans son esprit à ce moment là, puisque après un peu de réflexion, il se rendrait vite compte qu’il éprouve le même genre de sentiment pour sa petite amie, Chiyoko. Avec un effort surement, il réussit à garder son calme suite aux douces paroles aimables de Kozue. Evidement, son cœur battait encore douloureusement dans sa poitrine, et sa respiration fut saccadée. Ainsi, il fit basculer sa demi-sœur sur le dos, et frôla ses lèvres contre son front, pour à nouveau plonger son regard de braise dans les tendres prunelles de la brunette. D’une voix haletante :

- Fais juste attention à toi… C’est tout ce que je te demande.

Il justifia son état par de la simple excitation, chose qui était tout de même présente. Et guidait ses gestes. Une de ses mains avait toujours les doigts entrelaçait avec les siens, il observait minutieusement l’expression que laisser apparaitre Kozue. Elle semblait tracassé, perdu… Il redoutait l’éventuelle réponse à la question qu’il aimerait poser. Il craignait qu’elle lui réponde simplement que cette relation était une erreur, et qu’elle regrettait ce qu’il s’était passé quelques instants plus tôt. Il le prendrait très très mal. Mais se risqua tout de même au jeu.

- Qu’il y a-t-il ? Ca ne va pas… ?

Il passa délicatement sa main libre dans ses cheveux ébouriffés, et frotta son nez contre le sien, continuant ainsi son jeu de séduction, si on peut dire cela comme ça.

Ahhh… Son contact est si agréable… A tel point qu’il peut me faire tout oublier. Sauf quand quelques choses te tracasse ma belle… Dis-moi tout…

Plus ça allait, plus Kozue gardait son expression grave sur le visage. Takumi commençait à s’inquiété et devenir suspicieux ! Qu’est ce qui pouvait la mettre dans cet état ? Elle ne tarda pas à répondre d’elle-même avant de repousser gentiment son demi-frère. Ce dernier ne compris pas de suite, ce qu’elle avait annoncé était plutôt une bonne nouvelle. Plus de drogue, plus de violence, plus de problèmes non ? Cependant, Takumi fut réellement choqué par la deuxième partie –si l’on peut dire cela comme ça- de la réaction de la brunette. Recroquevillait sur elle-même, et contre le mur qui devait certainement être frais, elle cacha son visage parsemé de larmes. Chose inutile, son aîné de peu avait bien compris son état.

- Je suis toujours à leur solde. Sauf qu'ils ont décidé de me mettre dans un de leur club situé à Shinjuku...

Trop beau pour être vrai hein ? Il voulut en premier lieu la rassurée. Ainsi, il prit ses mains et les plaqua contre son visage, leur procurant un peu de sa chaleur corporelle. Puis, il essuya les larmes qui perlaient encore sur son visage percé par la douleur, et il ne put s’empêcher d’embrasser passionnément ses lèvres joliment rosées. Suite à ce langoureux baiser, Kozue resta toujours sur ses positions. C’est là que Takumi fut envahis par une vague de dégoût incontrôlable. Shinjuku était un quartier bien animé la nuit, surtout dans les bars et… surtout dans le… Oui, il avait enfin deviné. Une horreur. Il se prit violement la tête pour éviter de passer ses nerfs sur un malheureux objets à sa porté, et s’éloigna vivement de sa sœur. Il fallait qu’il se calme avant de pouvoir prendre la parole. Mais c’était littéralement impossible de garder le sang froid dans ce genre de situation. Il était épuisé de toutes ses conneries ! Bien qu’elle avait eut l’honnêteté de lui dire. Du moins, de le laisser deviner.

- Depuis quand ?!
- …
- DEPUIS QUAND MERDE ?!

Aucune réponse. Quel désespoir ! Takumi était en plein désarroi, et se rhabilla vite fait bien fait, les cheveux quelque peu humides toutefois. Il s’alluma une cigarette perdu sur la table basse… Prenant une bonne pouffée, il continua d’une voix brisé :

- Les quartiers chauds de Shinjuku ne ?... Que fais-tu au juste ?

Il tourna son regard vers elle, vers son corps si frêle.

- Tu… Tu…

C’était trop dur à prononcer. C’était trop dur à accepter.

Kozue se jeta littéralement dans les bras de Takumi avec un désespoir des plus profonds. Il ne savait pas comment gérer cela. Il y a quelque instant, sa colère pouvait lui faire dire les choses les plus ignobles qu’il soit. Oui. Cette même colère que la fois où ils avaient rencontrés Ren. C’est vrai. Mais les larmes, et les excuses de sa sœur ne pouvaient pas le laisser de marbre non plus. Il est humain après tout. Et surtout hyper sensible à tout ce qui pourrait toucher de près ou de loin à Kozue. C’est certain. Son cœur avait cette chaîne qui le faisait saigner. Une souffrance qu’il devait accepter d’endurer s’il souhaitait rester auprès de sa brunette. Cependant, il eut un doute… Cette phrase résonnait encore dans sa tête, réveillant ce sentiment de colère ; « ils s'en seraient pris à moi, à toi, à Ren...». A Ren, a Ren, a Ren… Pourquoi lui ? En quoi était-il si finement mêlé au quotidien de la coréenne ? Cela le mettait doucement hors de ses gons. Il avait très envie, terriblement envie de prendre sa sœur sous le bras, et de fuir la ville pour tout recommencer à zéro. Mais il ne faut pas se faire d’illusions, ce plan était tout bonnement impossible. Valait mieux l’oublier. Il préféra éloigner Kozue de lui pour réfléchir à tête reposé. Mais trop dur. Des paroles blessantes lui brûlaient les lèvres. Et c’est ainsi qu’il planta son regard haineux, celui qu’elle détestait le plus au monde pour lui lançait à pleine figure :

- Desfois Ko'... J'ai l'impression que tu le fais exprès.

C’était affreusement cruel. Car Kozue n’était coupable en rien, bien qu’elle aurait pu faire des efforts aux yeux de Takumi. Il n’était même pas sûr des activités qu’elle allait mener, mais il devinait très bien. Surtout que cela la mettait dans cet état là. Mais rapidement, à la vue des larmes redoublantes de sa sœur, il la prit violement dans ses bras. Ne supportant plus la distance. Certes, Takumi était du genre lunatique, mais c’était une nouvelle fracassante. Il faut le comprendre le pauvre aussi. C’était dur de savoir que sa petite sœur qu’il aime par dessus tout aller faire des trucs pas nets, pour des gens pas nets non plus. Non. Le pire est d’imaginer des mains sales toucher ce corps si frêle, et déjà bien abimé… A cette image, il embrassa avec doucement chaque parcelle de peaux à sa portée.

- Excuse moi... Je t'aime, si tu savais... Je t'aime...

Il fallait être d’accord sur un point, c’était très difficile. La relation la plus compliqué et complexe de toute sa vie, c’est certain. Cependant, Takumi faisait preuve de faiblesse en agissant ainsi. Le fait de ne pas pouvoir choisir entre sa sœur, -qui sera toujours plus qu’une sœur-, et sa petite amie qu’il aimait malgré tout. Pourtant, même si sa vie en dépendait, jamais il n’abandonnerait Kozue. Tant pis pour la douleur qu’il l’oppressait, tant pis s’il risquait gros… Le confort d’avoir toujours sa coréenne près d’elle en valait la chandelle. Mais cela n’excusait pas ce qu’elle allait s’apprêtait à faire… Cela n’arrangeait en rien la situation. Takumi embrassa son front, et glissa ses mains sur ses hanches pour la serrer un peu plus contre lui. Sa langue chatouilla son cou. Marque d’affection pour se détendre, et surtout surveiller ses paroles qui pouvait se montrer blessante. Perdre à nouveau Kozue était impensable. Et surtout pas à cause de ses conneries. Car si cela se reproduisait, il risquait de la perdre à tout jamais, et elle finirait pour sur dans les bras de l’obsédé du feu, Ren. Honnêtement, le brun était animé par un sentiment mauvais et égoïste, oui. Il aurait préféré que Ren ne soit pas… Il avait pourtant conscience que contrairement à lui, Kozue ne s’opposait pas à sa relation avec Chiyoko. Et si elle savait pour son amante ? Elle ne dirait rien non plus ? Enfin quoiqu’il en soit, il continua à la câliner, la couvrir de baisers.

- Je t'en veux, mais je n'ai pas le droit... Tu y es obligé...

Il allongea une nouvelle fois Kozue sur le matelas, et se plaça au dessus d’elle. Son cœur battait fort dans sa poitrine, ses lèvres vinrent chercher ses jumelles, et ses mains le contact de sa peau si douce. Il ne pouvait s’empêcher de chercher sa sœur, de la faire sienne, d’être le plus proche possible.

- Je ne partirais pas. La seule raison qui peut me faire partir est la mort ~ Tu comprends ?

Il prit la main de la coréenne pour la collé contre sa poitrine. Ainsi, elle pouvait très bien sentir les battements irréguliers de son cœur.

- C’est toi qui me maintiens en vie mon cœur… Ce n’est peut-être pas le meilleur choix non plus, mais je resterais… toujours… Parce que je t’aime !

Il avait dit cette phrase avec une voix basse, et tremblante. C'était la première fois qu'il l'appelait avec un surnom affectif amoureux. Il voulait qu'elle comprenne ses sentiments si puissant.

Depuis aujourd’hui, depuis qu’ils avaient tout deux céder, Takumi avait bien conscience que leur relation n’allait pas être des plus simple. Malgré leur amour excessif l’un envers l’autre, jamais il ne pourrait ressembler à un couple normal ou quoi que se soit de ce genre. Après tout, il avait chaqu’un leur vie, bien distincte, même si un lien puissant et complexe les unis. Kozue semblait étonné que son frère soit aussi serein avec une vraie batterie qui faisait office de cœur. Un sourire léger vint illuminer son visage, il avait tellement l’habitude de ce genre de réaction face à sa chère sœur, que cela ne le gênait plus. Bien au contraire, les paroles qu’elle prononçait lui procurer une joie intense ! Si elle l’aimait aussi, si elle lui faisait la promesse de toujours rester avec lui ; alors le reste n’avait plus grande importance à ses yeux à cet instant. Car évidement, la vie n’était pas un conte de fée où il pouvait se permettre d’être l’unique pour l’autre. C’était impossible, ils le comprenaient bien. Alors juste le fait d’être toujours soudé quoiqu’il arrive devait les contenter. C’était déjà énorme lorsque Takumi songeait à leur première rencontre, où il pensait qu’il était le seul à ressentir ce genre de sentiment à son égard. Tout en sachant qu’elle était sa demi-sœur… Finalement, les moments passés ensemble était tout de même féérique, -si l’on peut dire cela comme ça-.

Enfin quoiqu’il en soit, Kozue était magnifique, éblouissante. C’était toujours un plaisir pour notre brun de découvrir une autre facette de sa personnalité. Incroyable. Alors qu’elle était très peu vêtue, elle se colla aisément contre le corps de son vis-à-vis, et frotta ses parties intimes contre celles de Takumi. Il en frémit, et soupira d’aise. Rapidement, il préféra retirer son t-shirt, -qu’il avait réenfilé plus tôt-, et baissa son pantalon jusqu’au niveau des genoux. Alors que jusque là, elle n’avait de cesse de le repousser, à présent, la jeune coréenne laissé tomber toutes ses limites. Takumi en pouffa de rire.

- Ne joue pas avec moi !

Il reprit aussitôt les choses en main, et vint déposer délicatement ses lèvres contre con cou, et ses mains se perdit sur son bassin, ses hanches… Ces dernières baisèrent innocemment le petit sous vêtement de Kozue de quelques centimètres. Cependant, elles tirèrent la jeune fille contre son torse, et firent disparaître le vieux sweet d’un geste vif. Pour ensuite, la re-plaquait contre le matelas. Takumi passa sa langue sur ses lèvres, et souri d’une façon adorable. Bien que ses prunelles laissaient en dire long sur son état. Finalement, après avoir tourné au drame, il se sentait plutôt d’attaque pour… remettre le couvert. Il était peut-être lunatique, mais Kozue pouvait l’être tout autant. Un trait de caractère de famille ? Certainement. Ils n’ont pas hérité de la ressemblance physique, donc il est normal que le caractère y prenne une place –importante-.

Le jeune homme ne pu se retenir de rire tout de même, la situation n’était pas réellement comique, c’était juste que ses propres gestes l’amusait. C’était si facile pour lui de tout contrôler. Surtout quand, il s’agit de femmes ! Sur ce, il se colla entièrement à sa sœur, lui titillant le lobe avec sa langue, ainsi, son souffle se faisant irrégulier et frappait contre le cou de la coréenne.